Pourquoi préférer une lipo HD VASER® à une liposuccion classique ?

Peut-être avez-vous déjà envisagé une liposuccion pour affiner votre silhouette ou faire disparaître de la graisse indésirable. Cette opération de chirurgie esthétique fait parfois peur, car elle laisse le corps endolori et marqué par des bleus pendant un certain temps. Mais saviez-vous qu’il en existe une version plus efficace, plus douce et moins contraignante ? Qu’on l’appelle liposuccion HD, VASER®, VASER® Hi Def Lipo, haute définition ou encore à ultrasons, je vous explique pourquoi vous devriez la préférer à la liposuccion traditionnelle.

Récupérer plus vite et avec moins de douleurs après la liposuccion

Une liposuccion classique se déroule en deux étapes : l’infiltration (de sérum physiologique adrénaliné) et l’aspiration (de la graisse). C’est pour cela qu’on l’appelle aussi lipoaspiration ; les cellules graisseuses sont littéralement aspirées à travers une canule.

La brutalité de la méthode traditionnelle

Mais sans traitement supplémentaire, l’extraction de la graisse peut être traumatisante pour le corps. Alors sous formes de gros morceaux solides, la graisse est «arrachée» à son environnement par l’aspiration, entrainant des dommages collatéraux sur les vaisseaux et nerfs qui l’entourent. Les conséquences sont souvent visibles sur votre corps et impactent le temps de récupération post-opératoire : vous présentez potentiellement un grand nombre d’hématomes douloureux, qui ne se résorberont qu’après plusieurs semaines.

Des ultrasons pour adoucir la liposuccion

Là où la liposuccion classique passe directement de l’infiltration à l’aspiration, la lipo VASER ajoute une étape : la fragmentation de la graisse. Soumis à un traitement par ultrasons, le tissu graisseux passe de plus gros masses solides à un amas de minuscules fragments de graisse ramollie. Plus précise, l’aspiration de la graisse est alors plus délicate et préserve les vaisseaux et les nerfs avoisinants.

Laissant moins d’hématomes, les douleurs, gonflements et marques sont réduits, la liposuccion VASER permet de reprendre une vie active normale après quelques jours seulement et une pratique sportive poussée déjà un mois après l’opération.

Réduire la graisse, oui, mais avant tout resculpter le corps

La liposuccion classique a souvent comme seul but de réduire la masse graisseuse, sans une vision esthétique plus poussée. A l’inverse, la lipo VASER® HD s’inscrit dans une approche plus globale de la silhouette. L’objectif est de remodeler, de sculpter et de mettre en valeur le corps en fonction de l’anatomie et des caractéristiques physiques de chacun.

Définir le contour des muscles pour un corps dessiné

Grâce à son effet sur le contour des muscles, la liposuccion séduit particulièrement les patients à la recherche d’un corps « dessiné » mais dont la pratique sportive assidue ne suffit souvent pas. C’est sans doute l’une des explications du succès grandissant de la liposuccion HD chez les hommes, désireux du fameux « six packs » au niveau des abdominaux ou de dévoiler leurs pectoraux et triceps durement travaillés à la salle de sport.

Utiliser la graisse pour ajouter du volume ailleurs dans le corps

Dans la perspective d’un remodelage du corps, la liposuccion VASER HD est également idéale pour un lipofilling. La graisse extraite, fragmentée, est parfaitement adaptée pour une greffe précise, assurant un excellent tôt de survie de la graisse et des résultats équilibrés.

Une liposuccion plus efficace, plus « douce » et plus esthétique

En plus de permettre de retirer jusqu’à 80-90% de la couche graisseuse locale, la liposuccion VASER HD est douce, avec peu de risques de problème d’irrégularités de surface et une rétraction cutanée améliorée. C’est pourquoi les patients l’apprécient particulièrement.

Chez nous, la liposuccion est proposée autant aux femmes qu’aux hommes et peut s’appliquer à différentes parties du corps : ventre, abdomen, flancs, cuisses, thorax, dos, mollets, bras ou encore le menton.

La liposuccion haute définition a été – et est toujours – un véritable « game changer ». J’ai été le premier à la pratiquer en Europe en 2006 et n’ai plus jamais envisagé la méthode traditionnelle depuis. Aujourd’hui, je suis fier d’être l’un des chirurgiens plastiques au monde qui ont participé au développement de cette technique, à pouvoir offrir cette méthode révolutionnaire à mes patients et d’avoir régulièrement l’occasion, lors de congrès et de formations, de transmettre mes connaissances à d’autres médecins.